samedi 28 août 2010

Article qui sert à rien.


Bon, si j'ai la foi, bientôt vous aurez un compte-rendu du festival le Couvre Feu (je suis en train de le rédiger mais c'est long).
En attendant, voici un peu de pub pour un concert qui s'annonce bien cool, vu que c'est moi qui ai fait le flyer.


P.S: J'ai la joie de vous annoncer (mais depuis le temps vous avez du remarquer) que j'ai la flemme d'écrire un live report sur l'inoubliable concert de Big D And The Kids Table et Streetlight Manifesto au Nouveau Casino le 17/08, pour lequel j'ai eu une invit grâce à Tangi de Sick My Duck. Mais vous pouvez voir quelques photos ici.


jeudi 5 août 2010

4 aout 2010: CIVET + BORN TO LOSE + STREET POISON + DISSIDENCE RADIO = larsenes et sueur à la Miroiterie.



Depuis le temps que j'écoutais le punk rock des pin ups américaines, il était inimaginable que je rate leur passage à Paris, malgré les nombreux obstacles.

C'est donc avec enthousiasme que j'arrive à Ménilmontant, avec le devoir, que-dis-je, l'obligation d'affronter la pente. Et une fois de plus dans ma vie, je l'ai (sur)montée.
Arrivée à la Miroiterie, je sais que je ne me suis pas trompée de jour, vu qu'elle commence déjà à être blindée avec seulement le premier groupe qui vient de commencer son set.

J'entre alors dans la salle déjà en surchauffe de la Miroit, pour voir DISSIDENCE RADIO. Du punk hardcore mélo chanté en français comme on peut l'aimer. Les musiciens interprètent leurs compos avec engagement, faisant taper du pied et même chanter à certains moments le public encore très mou de ce milieu de semaine grisâtre. Un set énergique, un groupe proche du public, des morceaux bien enchainés, et une reprise de Good Riddance pour clore le tout. J'ai apprécié.

Après avoir pris une bière, discuté avec quelques personnes plus ou moins sympa dont une avec un très beau t-shirt, je retourne dans la salle pour voir STREET POISON et ô surprise, la salle est déjà blindée et je me retrouve au fond, derrière tous ces gens très grands. Après trois ou quatre morceaux je me dis que je les ai déjà vus et que ça n'était pas un péché d'aller dehors, sachant que j'y voyais et entendais aussi bien qu'à l'intérieur. C'est dommage mais ça reste un groupe à voir.

J'étais donc tranquillement en train de discuter avec des personnes sympa du 95 quand il se mit à pleuvoir. Il pleuvait de plus en plus, de plus en plus de gens venaient se réfugier sous les frêles bâches, de plus en plus de gens sortaient étouffés de la salle, de plus en plus de gens arrivaient à la Miroit, et c'est là qu'on a réalisé que ça allait être un concert épique. C'est donc BORN TO LOSE qui commencent à jouer. Malheureusement, je n'ai même pas pu entrer dans la salle. Grosse déception, vu que j'avais très envie de voir ce fameux groupe texan très classe dont les nombreux et entrainants "wo-hoo" ne me parvenaient qu'à l'entrée de la salle. Du coup j'espère que quelqu'un d'autre écrira un report, quelqu'un qui aura eu la chance de voir BTL et pas seulement les entendre. D'ailleurs c'est à ce moment-là que les larsenes ont commencé à se faire sentir, et de manière assez violente.

Enfin, après un très long set des texans, il est temps pour les pin ups tatouées de passer sur scène! J'arrive à me faufiler pour être à peu près devant, et c'est avec émotion que je vois les CIVET faire leurs balances (quoique également avec surprise, parce que la musique n'a pas été coupée, et on a même droit à du "Message To Rudy" et "Gangsters" par-dessus les "check, check, check!!"). Enfin, le son est coupé, les filles sont en place, et pour l'extase générale, c'est parti! Je ne sais pas comment, au bout d'une minute, je me suis retrouvée dans les pogos, mais du coup j'ai décidé d'y rester. On aurait dit que la Miroit allait exploser: le son de plus en plus fort et de plus en plus dégueu, avec de plus en plus de larsenes tranchants, une salle contenant au moins 30% de plus de personnes qu'elle le devrait (250 entrées ce soir-là, OMG), des pogos incessants, des slams interminables (vu qu'il n'y avait pas de place où retomber), mais surtout, surtout: l'expérience unique de voir les Civet, ces pin ups ultra classe qu'on a l'habitude de voir parfaites sur les photos, jouant dans ce squat parisien, pleines de sueur, complètement décoiffées, avec l'eyeliner qui coule le long des joues et les collants filés... ça en devenait excitant. On a donc droit à nos tubes favoris: le bon vieux "Alibis", le classique "Son Of A Bitch", le repris en choeur "All I Want", l'incontournable "Hell Hath No Fury", "Pay Up", "1989", "Take Me Away", ainsi que d'autres tubes des deux albums. Une agréable surprise: les Civet de chez Hellcat Records et mondialement connues n'ont pas la grosse tête de rockstars (et le fait qu'elles aient accepté de jouer à la Miroit en est la preuve): on les voit déconner sur scène, la chanteuse Liza Graves n'hésite pas à mettre une petite tarte dans la gueule d'un grand crâne rasé en bretelles qui voulait absolument la tripoter; on a même droit à un slam de la guitariste Suzy Homewrecker! On les voit donc mettre leurs manières de femme fatale de côté et jouer avec toute leur énergie, surmontant la chaleur, la sueur, le son dégueulasse et les pogos qui débordent à leurs pieds (merci aux hommes musclés qui les contenaient et qui nous ont même foutu du déo partout, mes poumons s'en souviennent). Après un set très dense en émotion, les Civet posent leurs guitares, faisant alors hurler la foule pour "one more". Je prie pour un "Gin And Tonic" en grand final et... elles le jouent! Un de leurs meilleurs morceaux vient ainsi marquer la fin de la prestation des pin ups californiennes et de leur femme fatale punk rock. Un concert de fou.

En sortant de la salle j'ai réalisé que mes cheveux étaient trempés jusqu'aux pointes... ce n'était pas que ma sueur. Charmant, non? Bref, comme d'habitude, c'est à ce moment-là que tout le monde se rue vers les t-shirts vendus par les Civet elles-mêmes. Le temps de discuter de ce qu'on vient de voir et de nos oreilles qui font mal quand on ne met pas de boules quies, et la foule autour du merch s'estompe, me permettant de prendre quelques photos avec les Civet, et même une avec la bassiste Jacqui Valentine, la préférée de toutes. La batteuse Roxie Darling se sentant dégueulasse après le concert, se cachait sur toutes les photos...
Quelques conversations sur les doubles arcs-en-ciel plus tard, Jules vient nous virer et c'est ainsi que se termine cette soirée surchauffée et survoltée à la Miroiterie, une soirée inoubliable que l'on doit aux braves Sick My Duck et Carnage Punk Rock. Merci.


En cadeau, voici une photo de moi avec les Civet après le concert, et un bon montage vidéo de leur prestation fait par je ne sais pas qui.



lundi 2 août 2010

30 juillet 2010: MALADROIT + POESIE ZERO + LORDS OF THE PINT = sueur au Chiquito.



Je ne sais pas si je devrais parler de soirée punk rock, de concert underground, de bière musicale ou encore de boom en l'honneur de Fikce.

C'est donc à Ménilmontant que j'ai ordonné au métro de me ramener, ce qu'il se hâta de faire. Ce qui me réjouit à chaque fois que je vais au Chiquito, c'est que j'arrive à Ménil pour un concert et je n'ai pas à gravir la pente qui me fait ressentir ma faiblesse en tant qu'être humain à chaque fois que je me rends à la Miroiterie.
C'est pour ça que j'arrive de bonne humeur au Chiquito que je ne remercierai jamais assez de s'être installé en bas de la rue. Le temps de dire bonjour à quelques personnes venues voir le même concert que moi, d'échanger quelques avis plus ou moins favorables sur quelques groupes obscurs et de se prendre une bière, et voilà que l'on nous annonce que le show est sur le point de commencer. On emprunte alors ce minuscule escalier très dangereux pour descendre dans cette petite salle où le peu de public déjà arrivé crève déjà de chaud (d'ailleurs, on s'en branle, mais je crois que les murs ont été repeints et ce charmant poster "le Chiquito" est une nouveauté).

Malheureusement, il semblerait que ce ne soit pas le meilleur concert pour les fidèles serviteurs de la bière, les LORDS OF THE PINT. En effet, Seb rencontre des problèmes de Jack dès le début et du coup on n'entend pas ses magnifiques solos à la guitare et Alex se démerde pour péter trois cordes sur la sienne... heureusement que Fikce est là pour relever le niveau en nous interprétant un sympathique solo de batterie. Malgré les problèmes techniques, le public que je trouve de plus en plus fanatique fait usage des appels calqués sur le fameux "Let's go Murphys!" adressés aux Lords et ô, quelque chose de nouveau, également adressés à Fikce (qui, depuis peu accompagne les Lords à la batterie). En termes de chansons c'est "Bibinydille" (plus grossièrement appelée "ma p'tite bière" ou encore "Sodomie"), "Mon seul amour", "Peter Pan", l'incontournable "Les jours de notre vie" et "On a de la cuite dans les idées" (ce n'est pas le vrai titre de la chanson je crois, mais bon) qui se mélangent aux voix plus ou moins justes et plus ou moins mûres du public joliment dévoué, qui reste dans cette pièce surchauffée et sans fenêtres dans laquelle même les murs transpirent.

Le temps de se reprendre une bière et de raconter deux-trois "histoires drôles de la Toto", et c'est le nouveau groupe tendance de l'été qui nous rappelle dans le four au sous-sol: POESIE ZERO! Cette fois, Fikce passe au chant et on distingue même les paroles (que, au passage, quelqu'un avait pris soin d'imprimer en une cinquantaine d'exemplaires et le public et les musiciens n'hésitent pas à consulter). Poezie Zero dont le premier concert date d'à peine deux mois n'hésitent pas à mettre de l'huile sur le feu qui est en train faire monter la température de la salle à environ 50°C en balançant leurs tubes: "Policier" ("...c'est pas un métier facile, Policier c'est pas un métier!"), "Rock One", "Scénario", "Péter les dents", "Brûler ta voiture", "Nicolas", "Petit con" etc. Malgré la chaleur devenue insupportable, le groupe n'hésite pas à y mettre toute son énergie, quitte à être recouverts d'une couche d'humidité d'environ 7,3mm, et tout ça devant un public qui doit en être à 3,2mm. Le courageux Fikce nous interprète même quelques petites danses sympathiques pleines de sueur et de bonne humeur. Fab et Baptiste se démarquent avec des choeurs étonnamment énergiques et leurs 4 et 6 cordes en feu, et Hellvis avec ses baguettes démoniaques. Un set glorieux qui se termine sur un public qui court se rafraichir dehors avec de la bière à pression, fuyant cette chaleur humide qu'il a supportée par amour pour l'art.

On a envie de rester dehors, mais le devoir nous appelle et on redescend dans cette petite pièce où il fait inhumainement chaud, histoire de la chauffer un peu plus pour MALADROIT, un autre groupe composé que de rockstars, avec à nouveau Fikce derrière les tomes. Les tubes dont je ne connais pas très bien les noms font vibrer le Chiquito tout entier et sursauter son patron rachitique. "Embarasse-moi", "DIY", "Don't Tell My Girlfriend I Have A New Band", "Non Fiction"... (en fait je dis ça mais je ne suis pas sûre de tout, donc si vous voyez une inexactitude, n'hésitez pas à me corriger). Till et Olivier se déchainent sur les paroles de travers et leurs guitares pas hyper adroites, Jimmy transmet son énergie par le biais de sa basse tordue et Fikce couronne le tout avec sa batterie mal placée (désolée pour l'humour raté avec un champ lexical foireux). Le concert se termine avec des applaudissements pleins d'enthousiasme et de sueur, et on se rue à nouveau dehors, en se ravitaillant en bière (ou en coca).

Ce beau vendredi soir ne s'est pas terminé là, et plusieurs conversations plus ou moins intéressantes et plus ou moins drôles ont pu être entendues autour de ces bières, clopes, cocas et autres plaisirs de ce bas-monde (qui n'est que vanité, n'oublions pas ces douces paroles du défunt Blaise), pour, espérons-le, le plaisir du patron du bar.
Encore une belle et douce soirée de juillet qui restera gravée dans les mémoires ou bien encombrera juste les serveurs de blogspot.

Et pour faire plaisir à tout le monde, voici une vidéo par Dolly Valentine de Poesie Zero interprétant "Petit con" et "Policier".

dimanche 1 août 2010

29 juillet 2010: CATCH 22 + THE MARXMALLOWS + PUNK ISN'T IT + CANISQUARE au Batofar



Ce jour-là il faisait moche mais j'ai quand même eu envie de mettre mes lunettes de soleil. La raison? J'étais au Batofar.
Grâce à mes relations avec des personnes haut placées, je n'ai pas eu à payer ma place, ce qui fait déjà 10€ d'économisés.

Grâce au premier groupe dont le nom m'est resté inconnu et à Only Talent Prod qui ont foutu la pression à CANISQUARE pour qu'ils se dépêchent d'aller sur scène, mon retard de 15min m'a fait rater quasiment tout le set de ces derniers: je n'ai assisté qu'aux deux derniers morceaux de ce jeune quatuor fraichement mélodique dont les précédentes dates ne m'ont pas déçue, surtout en ce qui concerne l'évolution de leur genre (musical).
(là vous devez dire "Omagad, ce concert a commencé à l'heure!")
Bref, je ne vais pas m'étaler sur une prestation dont je n'ai vu que la fin, mais même à partir de là je peux deviner que le groupe avait tout de même une bonne pêche, une fois de plus. Par contre le temps des deux morceaux l'ingé lumière a réussi à me rendre aveugle... et pas que moi d'ailleurs.

Le groupe d'après s'appelait PUNK ISN'T IT. Le nom m'intriguait, puis j'ai pour habitude d'assister aux prestations de tous les groupes lors d'un concert. Je ne sais pas trop comment le dire, je n'ai pas envie d'être méchante, puis je respecte quand même le travail d'un groupe et l'amour des mecs pour ce qu'ils font... bon, disons qu'en écrivant ce qui suit, je n'expose pas (forcément) mon avis mais essaie de retranscrire l'impression générale du public, de faire un compte rendu des échos que j'ai eus... je serai méchante le long d'un paragraphe et au nom du peuple. Punk Isn't It donc. Je crois que là on a tous envie de répondre: "no, it isn't." Punk Isn't It: un groupe de mecs qui n'ont pas l'air d'avoir dépassé la période de post adolescents, avec des coupes de cheveux dignes d'un groupe de black métal norvégien et des t-shirts de groupes (Guns'N'Roses, n'est-ce pas) taille XXL. Je sais, on s'en fout de l'apparence, mais c'est juste un avant-goût de l'activité musicale du groupe. Ces mecs auraient peut-être pu nous faire du bon punk rock comme on l'aime, mais ils ne se sont pas donnés la peine de le faire. Des compos pas extraordinaires, un son très métal, un ensemble très peu carré, et, cerise sur le gâteau: reprise totalement impersonnelle et mauvais goût de Tryo, "L'hymne de nos campagnes", pour nous faire rappeler ce petit message écolo qu'on a un peu trop tendance à oublier. Merci. Mais on n'est pas tous des fans de Tryo, donc la reprise a fait un gros flop, et à part quatre ou cinq personnes hésitantes, personne n'a chanté le refrain, malgré les encouragements désespérés du groupe. Je crois, et ce fait est très triste si on y pense, que la fin de leur set a été un grand soulagement pour nous tous. Et comme un certain batteur d'un certain groupe a très bien résumé les impressions générales, je vais le citer: "Plus jamais!"

C'est au tour des MARXMALLOWS de passer sur scène. Leur pop punk péchu aux mélodies entrainantes que j'aime beaucoup a ranimé la salle, bien que celle-ci ait été un peu vidée. Comme je connais bien leurs morceaux, vous aurez droit à une ébauche de la setlist. On commence donc par l'inévitable "Cheeta Is A Punk Rocker", suivi du très country "Nothing At All", ainsi que de l'exotique "Hawaiian Girl", "Don't Track Me Down", "Everyone Hates" et d'autres titres sucrés principalement issus du dernier album, "Who Cares?". On a droit au classique "Fun, Sun, Booze & Boobs" pendant lequel Lwi, Adi et Matthieu Crepaux miment le surf. Très réussi. Le monsieur chronomètre se hâte de faire comprendre au groupe que le temps presse, et à peine les dernières notes de "Fun, Sun, Booze & Boobs" jouées la lumière et la musique de fond sont de retour. Lwi interpelle quand même le gentil régisseur et lui précise qu'ils 'ont pas encore joué le grand final. La lumière et la musique s'éteignent donc à nouveau, Lwi pose sa guitare, Adi lui passe sa basse et prend le micro, et le public a droit à la traditionnelle reprise de "The Crusher" des sensei des MxM, les RAMONES.
A la fin du set j'aide les Mallows à tenir leur stand et ô, chose émouvante, quelques kids demandent timidement des autographes et l'un d'eux est un garçon d'environ six ans! C'était trop kawaii (désolée pour les termes japonais, je viens de me mater tout Bleach en VOSTF).
Bref, un groupe qui sait nous rappeler qu'on est en juillet par un jour frais et grisâtre comme celui-ci.

On en arrive à la tête d'affiche. Un certain trompettiste d'un certain groupe m'a dit: "Catch22,ou le groupe qui figurait sur la page Wikipedia: "les groupes qui sont le plus partis en couilles, qui étaient bien avant" ". En ce qui me concerne, ma connaissance de ce groupe et de son oeuvre est plus que médiocre, donc je mets cette citation sans quelconque insinuation mais plutôt par nostalgie pour la terminale où je pouvais me faire plaisir avec des citations ludiques dans me copies de philo... bref.
CATCH 22 donc. Je ne connaissais pas donc. J'ai été agréablement surprise. La salle du Batofar s'est remplie jusqu'à ce qu'il y ait du public collé à la scène, mais aussi sur l'escalier du fond, au bar, adossé aux poteaux, le long des murs, sur l'escalier de la scène etc... Les six américains ska punkers ont donc commencé à jouer, ô surprise, du ska punk! Un set de trois quarts d'heure très énergique, avec des compos douces et énervées à la fois, des musiciens à fond et surtout des cuivres!! Les gens dansaient, pogottaient, on apercevait quelques bras/poings brandis en l'air, l'ingé lumière n'a pas été trop méchant, le public très varié (des kids pré adolescents aux t-shirts Quicksilver aux femmes trentenaires en robe d'été) contemplait le spectacle dans une ambiance paisible... c'était bien.

Après le show, quelques paroles agréablement fluides échangées avec les membres des différents groupes (et avec d'autres gens aussi) sont venues clore cette belle soirée fraiche de fin de juillet.


A défaut d'avoir une photo du concert, je vous mets ce petit lecteur exportable avec le dernier album des Marxmallows.